Câblage de la voie

Câblage des cantons

J’ai choisi de ne pas faire confiance aux éclisses et d’alimenter chaque coupon de voie, pour fiabiliser le fonctionnement. J’ai donc soudé sur chaque coupon de voie et chaque aiguille, les 2 fils du J et K.

Il faut être vigilant pour ne pas inverser le bleu et le gris, il faut bien suivre toujours le même rail, sinon gare aux courts-circuits.

Je souhaite faire fonctionner mon réseau en toute sécurité, comme dans la réalité, avec le système de Bloc Automatique. Un train ne peux pas entrer sur un canton déjà occupé par une autre rame. Le principe est très bien expliqué dans le tutoriel de Jean-Pierre PILLOU. L’entrée de chaque canton est protégé par un signal.

Principe des cantons

Chaque zone de détection des cantons est alimentée par l’une des sorties des modules RS8 (de LDT). Le module RS8 détecte la présence d’un train sur une zone, par la consommation de courant. Les zones d’aiguilles ne sont pas rétrosignalées.

L’avantage de l’utilisation de RRTC pour le pilotage du réseau permet de limiter le nombre de modules, car chaque canton ne nécessite qu’un emplacement, contrairement à d’autres logiciels de pilotage qui ont besoin de zones de ralentissement (soit 1 canton = 3 zones).

Un repérage numéroté est impératif pour s’y retrouver, car il y a une trentaine de cantons raccordés.

Module de rétrosignalisation RS8 de chez LDT

Sur l’ancien réseau qui était en « os de chien », j’avais 2 boucles de retournement sur lesquelles j’avais installé des modules LENTZ LK200 pour éviter les courts-circuits.

Le nouveau réseau étant en tour de pièce, je ne devrai pas en avoir besoin. Toutefois je vais en garder 1 pour équiper la plaque tournante du dépôt.

Module LK200 pour boucle de retournement

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