Le câblage

Que de fils !

J’ai beaucoup lu sur Internet que le numérique nécessitait bien moins de filasse que l’analogique. Si l’on veut, comme moi, alimenter chaque coupons de voie, piloter les moteurs d’aiguilles et assurer la détection sur chaque canton, ça fait pas mal de fil et de soudures à faire.

En effet, les coulisses du réseau s’avèrent assez denses en fils de toutes les couleurs et de toutes taille. Pour s’y retrouver j’ai adopté un code de couleur et j’ai guidé mes fils avec des spirales à relieuse de bureau. Assez efficace et peu coûteux.

J’ai découpé mon réseau en plusieurs zones. Chaque zone est alimentée par un Bus tirés en fils de 1,5mm² sur lequel sont raccordés les différents modules et appareils. Il faut faire attention de bien séparer le bus d’alimentation, des fils de rétrosignalisation (RS) reliant les rails aux modules de détection, afin d’éviter les interférences et donc les bugs de fonctionnement des automatismes.

Les branchements de « proximité » sont réalisés avec du fil de câblage de réseaux informatique (AWG22) ou de câblage téléphonique (AWG26) sur des longueurs inférieures à 1m50.

Les codes de couleurs choisi :

  • Alimentation 5 Vac – Marron/Marron (Modules)
  • Alimentation 12 Vac – Noir/Noir (Moteurs)
  • Alimentation DCC – Bleu/Blanc (JK des voies sans détection)
  • Alimentation DCC – Bleu/Gris (JK des cantons)
  • Rétrosignalisation RS – Rouge/Gris
  • Commande des moteurs d’aiguilles Violet/Orange/Violet
  • Alimentation des pointes de cœurs d’aiguilles – Jaune

L’ALIMENTATION GÉNÉRALE

J’utilise une centrale LENZ LZV100 que je devrai certainement compléter par un Booster lorsque je voudrai faire tourner plusieurs trains sur le réseau (au delà de 7 je pense). On en est pas encore là !

J’ai 3 transfos :

  • le TR 150 de LENZ qui débite du 15Vac et du 5 Vac.
  • un transfo récupéré débitant du 12 Vac (pour les moteurs)
  • un transfo LIMA pour l’alimentation des éclairages de bâtiments
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